vendredi 2 mai 2025

Cet amour si difficile......

 


L’amour est magnanime, il est bienveillant… il ne soupçonne pas le mal… Il supporte tout, il est toute confiance, toute espérance, toute patience. (I Corinthiens 13 :4-7).

L’amour véritable n’a rien de prémédité, il coule de source, il se manifeste de cent manières merveilleuses. Il n’a rien d’un calcul mathématique. Nous ne pouvons pas dire : « Maintenant je vais tout supporter, ne jamais soupçonner le mal. ».

Ce qui caractérise l’amour, c’est sa spontanéité.

Nous n’avons pas besoin d’ériger devant nous tous les commandements de Jésus. Mais, quand son Esprit est libre de se déployer en nous, nous observons tous ses commandements sans même nous en rendre compte. Il arrive qu’après coup nous sommes surpris nous-mêmes d’avoir eu, en telle occasion, un sentiment si désintéressé, si peu égoïste. Le véritable amour, comme tout ce qui appartient à la vie de Dieu en nous, on ne s’en rend pas compte sur le moment, mais seulement après coup.

La source de l’amour est en Dieu, et non pas en nous. Notre cœur naturel est incapable de produire l’amour, il faut qu’il nous vienne d’en haut.

Quand nous faisons des efforts pour prouver à Dieu que nous l’aimons, c’est le signe certain que nous ne l’aimons pas. La preuve de notre amour, c’est son absolue spontanéité. En regardant en arrière, nous ne pouvons pas expliquer pourquoi nous avons fait telle ou telle chose, c’est l’amour qui nous a entraînés.

« L’amour est versé abondamment dans nos cœurs par l’Esprit que Dieu nous a donné. » (Romains 5 :5).



dimanche 27 avril 2025

Exposition au Vatican.

 


Le dimanche 6 avril, cinquième dimanche de Carême, la Basilique Saint-Pierre exposera le vénéré « Voile de Véronique », un tissu qui, selon la tradition, a été utilisé pour essuyer le visage de Jésus sur son chemin vers le Calvaire, renouant ainsi avec une tradition très ancienne de l'Église catholique.

À 18 heures, heure locale, pendant l'entonnement des litanies, les fidèles parcourront les nefs de la basilique et entreront par la Porte Sainte. Depuis la loggia de la Véronique, la relique, aussi appelée le Saint-Face, sera exposée lors d'une liturgie extraordinaire.

Ensuite, l'archiprêtre de la basilique Saint-Pierre, le cardinal Mauro Gambetti, devrait célébrer une messe avec la participation des chanoines.

Mais qu'est-ce que cette relique exactement, et pourquoi attire-t-elle de plus en plus de monde depuis des siècles ?   Elle est mentionnée dans la sixième station du Chemin de Croix, où une femme nommée Véronique essuie le visage de Jésus avec un linge alors qu'il porte la croix au Calvaire.   Selon la tradition, ce linge porte l'image authentique du visage du Christ.

La femme qui essuya le visage de Jésus est communément appelée Véronique, du latin « vera icona », qui signifie « véritable icône ». On pense que l'image du Christ a été imprimée sur le voile lors de son chemin vers la croix. Le tissu lui-même porte également le nom de Véronique.

Avec une relique de la croix et celle de la lance de saint Longin, le voile de Véronique occupe une place de choix dans la basilique Saint-Pierre. Selon la tradition, Longin était le soldat qui transperça le côté du Christ.

Le tissu, le lin ou le voile de Véronique (ou simplement Véronique) est normalement conservé dans une chapelle qui se trouve derrière un balcon au-dessus d'une statue colossale de la sainte par Francesco Mochi située dans une alcôve qui fait partie de l'un des piliers soutenant le dôme.

Bien que le récit de Véronique n'apparaisse pas dans les Évangiles, elle fut plus tard associée à la femme atteinte d'hémorragie guérie par Jésus. Le livre apocryphe des Actes de Pilate (VIe siècle) parle également d'une femme, connue sous le nom de Véronique, qui essuya le visage du Christ avec un voile alors qu'il montait au Calvaire.

Cet article a été initialement publié par ACI Prensa, le partenaire d'information en espagnol de CNA. Il a été traduit et adapté par CNA.


vendredi 25 avril 2025

Humble dans le service.

 


Nous sommes ouvriers avec Dieu. (1 Corinthiens 3:9).

Méfie-toi de tout travail pour Dieu qui te détourne de concentrer sur Lui ta pensée.

Il y a beaucoup de chrétiens qui font de leur travail leur idole. Le travailleur ne doit s’inquiéter que de sa communion permanente avec Dieu, et tout le reste, toute son activité, toute sa pensée, il doit ne s’en faire aucun souci, comme un enfant respectueux et docile du Père céleste. Sans cela, il risque fort de se laisser déborder et même écraser par son travail. Il ne peut plus jouir de la vie. Il est trop accablé pour que la bénédiction de Dieu puisse se poser sur lui. Mais d’autre part, si l’on sait concentrer toute son âme en Dieu, Dieu dirige pour nous tout le reste et harmonieusement.

Vous ne sentez plus peser sur vous la responsabilité de votre travail. Vous ne vous sentez plus responsable que d’une chose, c’est le maintien intégral de votre communion intime et de votre collaboration avec Dieu. La sanctification produit en nous une liberté totale, celle de l’enfant. Mais, rappelez-vous que cette liberté vous est accordée uniquement pour que vous puissiez vous consacrer sans relâche à votre « divin collaborateur ».

Ce n’est pas à nous de décider où nous voulons aller, ni de savoir à quoi nous pouvons être utiles. C’est Dieu qui arrange tout pour nous. Partout où il nous place, notre rôle est de Lui être entièrement dévoué dans ce travail particulier.

« Tout ce que ta main peut faire, fais-le avec ta force. »



lundi 21 avril 2025

Décès du Pape François.

 


C o m m u n i q u é

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C'est avec émotion que nous apprenons le décès du Pape François. 

Le Chapitre de France de The Society of Traditional Catholics présente ses sincères condoléances à l'Eglise Catholique Romaine et à ses fidèles. 

Puisse le Seigneur les accompagner dans ce deuil et dans la continuation de l'oeuvre du Pape François.